Un truc que je voulais faire depuis l’achat. Je vous laisse deviner, ça se passe entre le répartiteur d’admission et l’échappement…
Donc, dépose du répartiteur, et début des ennuis !
J’ai commencé par écarter les deux tubes d’aire, comme ça bloquais toujours, j’ai déposé la plaque sur le dessus du moteur.
Et comme je n’arrivais pas à écarter suffisamment les tuyaux d’aire, j’en ai eu ras le bol.
J’ai déposé le filtre a aire, la batterie, les tubulures qui me gênaient.
Pour continuer avec le bocal LHM.
Après quelques heures de lutte, il est enfin sorti !
Au fait, il faut aussi penser à virer le collier du bas de la vanne EGR, accessible par le passage de roue droit 🙁 .
J’aurais bien aimé être la pour voir comment ça c’est passé le jour on un ingé est rentré dans le bureau de son chef tout fière “Chef chef, j’ai une idée pour passer les normes, réorienter les gaz d’échappement vers le moteur pour les rebruler”, et je suppose que des motoristes qualifiés on répondu, “Ouai, on le fait !!!”
90 000 Km plus tard…
Donc, séance de nettoyage, essence, brosse et pinceaux.
et c’est tout propre. (fin de journée, donc soleil bas, donc tubulures sombre, mais en faite, ça brille)
Et l’entrée d’aire.
Tous ces points réguliers sont des restes du moulage, ou ont il une utilité dans flux d’aire ?
Pour boucher l’entrée EGR j’ai découpé une tôle en suivant les formes d’un joint.
Comment bien maintenir cette tôle ? voyons…
J’ai pris la vanne EGR
Déposé la partir supérieure
Mis un coup de disqueuse
Et fini le tout proprement.
Hop, fermé et solide.
Fermons la sortie côté échappement maintenant…
Il reste des morceaux de vanne.
Réassemblage
Il ne reste qu’à boucher ce trou.
c’est sympa ce métal en fusion.
On remplit jusqu’en haut.
Un petit coup de disqueuse.
Et ça commence à ressembler à un bouchon.
C’est loin d’être terminé, la suite plus tard 🙂
Jilks